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Le marché de l’immobilier en Afrique, un avenir radieux

Le marché de l’immobilier en Afrique, un avenir radieux

D’ici 2025, plus du quart de la population mondiale vivra en Afrique. Cette croissance démographique va induire une forte demande de logements. L’Afrique étant caractérisée par de grands espaces domaniaux, constitue un marché indéniable pour les investisseurs au nez fin. Ce qui emmènerait tout investisseur à se demander « Quel est l’état des lieux de l’immobilier en Afrique et où fait il bon d’investir? ». TRIVMPH vous aide à répondre à ses questions dans cet article.

Le décollage du marché immobilier se fait lentement en Afrique

En Afrique, plus de 50 % du produit intérieur brut est cumulé grâce à 5 économies différentes. Cela met à mal le continent qui est confronté à des problématiques comme la tension sur le marché intérieur de commodité et l’endettement des pays.

La migration intra régionale des populations fait également partie de ces problèmes. Cela n’encourage pas la multiplication des investisseurs immobiliers sur ce dernier. Pourtant pour constituer un marché des plus intéressants, l’estimation de l’investissement s’élève à plus de 170 millions de dollars.

En outre, si en Afrique de l’Est, le marché de l’immobilier se développe peu à peu, en Afrique de l’Ouest mis à part certains pays phares qui s’en sortent relativement bien, il peine à décoller convenablement aussi bien dans le secteur résidentiel que le low cost.

Le secteur résidentiel  

Certains pays de l’Afrique subsaharienne misent beaucoup plus sur les résidences haut de gamme. Ainsi, en Côte d’Ivoire, des infrastructures routières ont été développées, afin de promouvoir l’émergence en parallèle du secteur immobilier. Cela entraîne une baisse des prix des logements, ce qui permet également à la population de se procurer de petites parcelles pour la construction de maisons individuelles.  

Au Ghana, une autre politique a été adoptée, afin de favoriser ce domaine d’activité. Il s’agit de la hausse des prix du logement. Cette augmentation oblige les autochtones à se regrouper du côté de la ville où les prix sont plus abordables. Ainsi, les terrains et l’espace sont optimisés favorisant l’émergence des immeubles dans les cités résidentielles du pays. Pour faire court, davantage de logements de vente ou de location sont proposés aux touristes. Cependant, cette politique de logements a été mal calculée dès le début, car de nos jours, elle pose un problème d’offre excédentaire.

Pour ce qui est de l’Ouganda, il assiste à une forte demande en matière de vente ou location d’appartements et de maisons. En somme, quelques pays ont réussi à mieux s’en sortir dans le secteur de l’immobilier. Pourtant, il faut dire que dans leur rang, nombreux rencontrent quelques difficultés.

Le low cost

Si le secteur résidentiel voit peu à peu le jour, ce n’est pas le cas du low cost. Cela s’explique par le coût trop élevé qu’engendrent les constructions. Le gouvernement ne pouvant le financer, les investisseurs étrangers s’invéstissent dans le low cost.

Malheureusement, mis à part les promoteurs chinois, ces derniers n’ont développé aucun intérêt particulier pour ce type de marché. Le problème est que du fait des travaux effectué mais qui laissent à désirer, le promotteurs Chinois sont en perte de vitess. L’engouement pour les constructions de luxe reste donc fort. Par contre, tous les autres pans du marché immobilier sont encore à penser et à développer.

Quelques villes où il serait bénéfique d’investir

Abidjan plaît grâce à sa forte croissance financière. Il y existe une concentration des pôles bancaires et financiers des grandes sociétés multinationales. Quant à Lagos, elle constitue la plus grande ville du Nigeria et de l’Afrique.

 Il dispose d’une population de plus de 20 millions. Il est d’ailleurs prévu une augmentation de ce chiffre en 2050 soit près de 100 millions d’habitants. Outre ces dernières, il existe plusieurs autres villes africaines qui méritent que les investisseurs s’y intéressent.

La ville de Brazzaville

Capitale du Congo, Brazzaville s’étend sur une superficie de 324000 km2 et est composée de ressources naturelles intéressantes. La toute première est le pétrole qui représente 80 % des recettes du pays. La seconde est le bois qui est très peu exploité bien que florissante. En termes de popularité, cette ville est composée de la moitié des habitants du pays. Un facteun non négligable est que la population est juvénile et de ce fait constitue une main-d’œuvre abondante. Forte de ses richesses, la capitale du Congo dispose d’un large panel de perspectives d’affaires. On parle ici du domaine de l’agriculture, de la pêche, de l’énergie, manufacturier, etc.

Illustration de Brazzaville. Architecture et infrastructures. Le 16 mars 2017. Photo Patrick Robert

Par ailleurs, Brazzaville attire grâce à ces richesses une myriade de touristes étrangers. Ils viennent principalement pour les affaires, ce qui permet de procéder au développement de l’investissement étranger. Même si les affaires sont la principale cause de cette arrivée, il est essentiel que les investissements privés s’intéressent au développement des infrastructures et se concentrent sur l’accroissement du marché immobilier.

La ville de Cotonou

Capitale économique du Bénin, Cotonou abrite 2/3 des industries du pays, notamment les banques et la cimenterie allemande HeidelbergCement. De plus, la proximité avec les frontières du Nigeria permet d’y faire du commerce principalement au marché Dantokpa.

Pour information, il s’agit du plus grand marché de toute l’Afrique de l’Ouest. En dehors de cela, Cotonou dispose d’un port autonome. Ce dernier favorise les échanges entre l’étranger et le pays. Ce commerce se fait avec l’Asie, l’Europe et l’Amérique du Nord et du Sud, ce qui en fait une ville entrepôt. Aussi, le port autonome représente 60 % du produit intérieur brut.

Etant une ville phare du Bénin, Cotonou attire un grand nombre de voyageurs internatiaux tant pour raisons professionnelles que touristiques. Cet engouement en fait un excellent lieu d’investissement dans le secteur de l’immobilier, afin de renforcer l’arrivée des investisseurs internationaux et de booster le développement économique du Bénin.

La ville de Zanzibar

Cette ville regorge de nombreuses ressources naturelles et culturelles. Elle est composée de 3 îles principales qui sont bordées d’eau turquoise et de somptueuses plages au sable fin. Le lieu touristique idéal pour se détendre. Il vous est ainsi possible d’observer la faune aquatique ou de vous faire guider par un autochtone qui vous fournira le matériel nécessaire à cette exploration sous marine.

C’est principalement ce qui attire les touristes internationaux. Que dire des épices produites sur l’île et dont la réputation n’est plus à faire. Ces épices sont d’ailleurs les architectes partielle mais fort de la réputation de cette belle île. Grâce à ses richesses naturelles et culturelles, Zanzibar pourrait favoriser la multiplication des touristes. Que demander de plus pour investir dans l’immobilier. Les infrastructures ne feront qu’accroître la popularité de la ville qui s’agrandira très vite.